Ceci n'est pas un Magritte, mais une oeuvre picturale d'isabelle krief, le chênement, le début de l'histoire, là où l'élément majeur a pris sa source, ensuite, il a puisé sa force au fond de sa source pour grandir

Si le passé peut être chargé d'émotions toxiques,

Alors il suffirait de puiser au fond de soi,

Pour que les émotions futures

Soient moins chargées en émotions toxiques.

Dans ma série le chêne, le chêne-ment, l'en-chêne-ment, le dé-chêne-ment,

Je vous présente la force du chêne, sa puissance, son enracinement, sa durée, il puise au fond de ses racines toute l'énergie dont il a besoin pour ne pas se laisser abattre par les énergies négatives du temps qui passe.

Comme le chêne qui puise au fond de lui sa force pour vaincre le temps qui passe, puisez au fond de vous même la force qui vous portera pour ne pas vous laisser dépasser par les obstacles de la vie.

Ne dit-on pas fort comme un chêne, parce que le chêne dure, tient bon, lutte toute sa vie durant contre ses propres incertitudes et le temps qui passe

Ne dit-on pas fort comme un chêne, parce que le chêne dure, tient bon, lutte toute sa vie durant contre ses propres incertitudes et le temps qui passe

Parce qu'il y a toujours un ciel plus clair, une herbe plus verte, quelque part, en nous,

Parce que ce n'est pas l'endroit où l'on est qui compte,

Mais l'endroit où l'on puise sa force,

Cette herbe plus verte, ce ciel plus clair ne sont pas forcément loin de nous,

Ils sont en nous.

J'ai cherché sur cette toile à créer une ambiance vivante,

Tout d'abord, un sol vivant, qui bouge, une herbe aux tons changeants, marquant les saisons au fil du temps, l'arbre qui puise au fond de lui pour grandir et se développer, et un ciel rempli d'espoir, de sérénité.

Le chêne et son passé qui peut être chargé d'émotions et son avenir, plus léger qui le porte plus haut,

Ce marron obtenu avec le rouge et le bleu mélangé au jaune, toujours mes couleurs primaires que je tire au plus loin que je peux pour marquer le mouvement du temps qui passe de la racine jusqu'à la cîme.

Pour le fond, je ne voulais pas d'un ciel bleu quelconque, je voulais un ciel qui porte la sérénité, le bien être, ce à quoi on aspire tous après nos tourments, se rapprocher de la lavande, comme si le ciel n'était qu'un parterre de fleurs aux senteurs de la Provence, comme un air de vacances.

Belle journée à tous,

Isabelle krief